Prison pour l'avocat qui s'est retrouvé avec 225.000 XNUMX euros du licenciement abusif de son client

La chambre criminelle de la Cour suprême a confirmé la peine de 6 ans et 3 mois de prison prononcée à l'encontre d'un avocat du travail qui réclamait 225.000 4 euros pour majorer l'indemnité de licenciement abusif reconnue par la juridiction sociale à son client. L'avocat est reconnu coupable du délit réitéré de détournement aggravé de la valeur de l'escroquerie (3 ans et 7.875 mois de prison et 2 6.775 euros d'amende) et du délit réitéré de falsification d'un document officiel par un particulier (227.900 ans de prison et une amende de XNUMX XNUMX euros), ainsi qu'une restitution de XNUMX XNUMX euros plus les intéressés au client.

Selon les faits prouvés du jugement du tribunal de Barcelone, après sa confirmation par la Cour supérieure de justice de Catalogne, en 2012, la victime a contracté les services professionnels de l'avocat du travail accusé afin de déposer une plainte pour injustice contrat de licenciement et d'extinction contre votre entreprise. Les tribunaux - d'abord le tribunal social, puis le TSJ catalan et enfin la Cour suprême - ont ratifié le caractère abusif du licenciement et condamné l'entreprise à verser une indemnité de 202.213 XNUMX euros.

Après avoir obtenu gain de cause, le tribunal a rendu en octobre 2015 une ordonnance de restitution des 202.213 25.703 euros (que l'entreprise avait consignés pour pouvoir faire appel) en faveur du travailleur, qu'il a remis à l'avocat, et en décembre de la même année a réglé l'intéressé en principal de l'indemnité, qui s'élevait à 30 XNUMX euros, en émettant un autre mandat de volonté pour ce montant en faveur du travailleur et remis à l'avocat.

L'avocat du défendeur, ajoute le récit des faits, "restait aux sommes obtenues par les commandes répétées, qu'il encaissait directement ou par l'intermédiaire d'autres personnes ou personnes à qui il confiait l'opération d'encaissement".

En outre, "afin de retarder au maximum l'arrivée de la connaissance par le client de l'encaissement des sommes reconnues en sa faveur dans la sentence, (le prévenu) lui a expliqué une série de péripéties procédurales qu'il a présentées comme des empêchements à paiement, renforçant ses Explications par la remise de photocopies qu'ils disaient être des documents du Tribunal social, alors qu'ils ne l'étaient pas, et dont les photocopies, faites par lui ou par une autre personne à sa demande, faisaient référence" à la prétendue présentation d'un recours pour amparo devant la Cour constitutionnelle avec suspension du paiement des sommes jusqu'à la résolution de celle-ci.

preuve suffisante

El Supremo consideró que la valoración de los casos realizada por el Tribunal Superior de Justicia de Cataluña es “correcta y razonable” cuando concluyó que fue el acusado quien cobró los dos mandamientos de pago emitidos a favor de su cliente, à la vista de la prueba documental, y quien fue responsable de la falsedad documental, en este caso ya que, “no siendo el delito de falsedad un delito de propia mano, resulta irrelevante que fuera el recurrente quien abordó la confección material de las fotocopias o si encomendó la realización a autre personne".

"L'accréditation que le défendeur s'est approprié les fonds versés à son client, attestant que les documents (irréels selon le témoignage rendu en plénière par l'avocat de l'administration de la justice) n'ont servi qu'à couvrir son action, la réclamation étant pleinement raisonnable. inférence qu'il doit avoir été celui qui a confié ou adressé la réalisation des photocopies pour justifier à son client pourquoi il ne devait pas livrer les fonds », indique la Cour suprême.

Pour cette raison, elle rejette l'appel de l'avocat condamné sauf la peine d'une amende correspondant au délit de falsification documentaire, puisque la Cour a imposé un montant (13 mois à raison de 25 euros de quotité journalière) supérieur à ce que a été demandée par le procureur et le ministère public, qui ont violé le principe accusatoire, pour lequel il inflige une amende de 9 mois avec une redevance journalière de 25 euros pour ce crime, maintenant le reste des condamnations et des prononcés.