Les personnes en excès volontaire ne perçoivent pas d'indemnité de licenciement collectif · Actualités juridiques

Le tribunal social n° 2 de Pampelune, ​​​​dans une décision du 24 janvier 2022, a statué que les personnes en excès volontaire n'ont pas droit à une indemnité de licenciement collectif.

Le juge applique le critère de la Cour suprême, qui nie le droit à une indemnisation pour le licenciement des travailleurs en excès volontaire commun, au motif que cette indemnisation répond à la nécessité de compenser le préjudice découlant de la perte de l'emploi pour la perte des moyens de subsistance que leur performance fournit au travailleur.

Pour les travailleurs qui ont choisi de faire une pause, celle-ci est insignifiante comme l'énonce la procédure de l'article 51 du Statut des travailleurs (licenciement collectif) car aucune conséquence indemnitaire n'en sera tirée pour eux. En effet, l'arrêté rappelle que, dans certains cas, les périodes de dépassement sont utilisées par le personnel comme un moyen légitime de promotion ou d'expérience professionnelle dans un autre emploi à son compte ou en tant que salarié.

L'institut a le droit

Par conséquent, les personnes en excès volontaire n'ont pas droit à une indemnité de licenciement collectif. Et ce alors même qu'en vertu de celui-ci le centre de travail de l'entreprise a été fermé, et qu'ils aient été ou non inscrits sur la liste des personnes concernées par le dossier de réglementation du travail.

De plus, dans tous les cas, celui qui voudra percevoir l'indemnité correspondante sera la personne embauchée pour remplacer le travailleur excédentaire, insistant dans la phrase sur le fait qu'il n'est pas nécessaire d'inclure le travailleur excédentaire dans la liste des travailleurs concernés par l'ERE.

La fermeture du centre dans lequel le travailleur excédentaire fournissait des services n'élimine pas la possibilité qu'il y ait à l'avenir un poste vacant convenable dans l'un des centres de travail actuellement en activité de l'entreprise, ce qui rend impossible pour le serveur de demander la reconnaissance d'un rapidement tacite et la déclaration d'irrecevabilité qui en découle.

Pour tout ce qui précède, l'arrêt rejette la demande dans laquelle la travailleuse demandait la reconnaissance de son droit à percevoir les mêmes sommes que le reste des travailleurs inscrits dans l'entreprise et avec le même âge et la même ancienneté, inclus dans le licenciement collectif , déclaration préalable d'irrecevabilité du licenciement.