11/09/2022
Mis à jour à 08h12
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Les messages du gouvernement concernant une éventuelle grâce pour José Antonio Griñán, condamné à six ans de prison pour l'affaire ERE, ont laissé la porte grande ouverte à cette mesure de grâce. La ministre de la Justice, Pilar Llop, a récemment insisté sur le fait que "la demande de grâce doit être étudiée", mais que "ce ne serait pas la première fois" qu'un gouvernement accorde l'une de ces caractéristiques. Face à cette éventualité, la majorité des citoyens s'y opposent, selon le dernier baromètre GAD3 pour ABC.
62 % des personnes interrogées affichent leur rejet de l'octroi d'une grâce à Griñán, contre 17 % qui s'expriment en sa faveur. 21 % préfèrent la case « ne sait pas/pas de réponse ».
Êtes-vous favorable au gouvernement
insulter l'ancien président
Junte d'Andalousie José Antonio Griñán
pour le cas de l'ERE ?
PSOE
PAGES
Vox
U. Pod.
cs
Nation.*
TOTAL
ERC, Junts, COPA, PNV, Bildu, CC et BNG
Es-tu une faveur
dont le gouvernement
insulter l'ancien président
du gouvernement andalou
José Antonio Grinan
pour le cas de l'ERE ?
PSOE
PAGES
Vox
U. Pod.
cs
Nation.*
TOTAL
ERC, Junts, COPA, PNV, Bildu, CC et BNG
La chose la plus importante dans ce cas est l'opinion des électeurs socialistes, d'autant plus que la position de la direction du PSOE a réussi à diviser le parti. Face à la thèse officielle selon laquelle la peine condamnant l'ancien président d'Andalousie était "injuste", et alors que des directeurs historiques ont annoncé qu'ils signeraient cette demande, d'autres responsables organiques ont hésité à signer la demande de libération conditionnelle formellement présentée par sa famille.
Ça a l'air bien, seuls 25 % des électeurs socialistes sont favorables à la grâce de Griñán, tandis que 59 % sont contre. Dans United We Can, seulement 18 % de leurs électeurs disent « oui » à la grâce. Dans le cas des électeurs du PP, le soutien à la mesure de grâce pour Griñán reste à 15 %.
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