Les communes de plus de 50.000 XNUMX habitants restreignent l'accès des véhicules en période de forte pollution

Le Conseil des ministres a approuvé ce mardi l'arrêté royal réglementant les zones à faibles émissions qui comprend des mesures telles que la restriction de l'accès des véhicules, la promotion des transports collectifs et des bornes de recharge pour véhicules électriques et qui devrait s'appliquer dans les quatre jours, le 1 d'environ 2023 municipalités avec plus de 50.000 20.000 habitants, des territoires insulaires et plus de XNUMX XNUMX habitants qui dépassent les valeurs limites de polluants réglementés.

La création de zones à faibles émissions (ZBE) a été inscrite dans la loi sur le changement climatique et la transition énergétique. Ainsi, les municipalités ayant des zones contaminées ont tendance à adopter, entre autres moyens, des plans de mobilité urbaine durable pour réduire l'émission de gaz polluants.

L'arrêté royal établit les exigences minimales homogènes que les communes concernées devront respecter. Le ministère de la Transition écologique a préparé avec la Fédération espagnole des communes et provinces (FEMP), l'une des lignes directrices pour la création de ZBE que les entités locales pourraient utiliser comme guide pour leur mise en œuvre et qui ont été présentées le 19 novembre 2021.

Les LEZ peuvent établir des mesures continues ou temporaires telles que des restrictions d'accès, de circulation et de stationnement des véhicules pour améliorer la qualité de l'air et réduire les émissions de gaz à effet de serre, selon la classification des véhicules en fonction de leur niveau d'émissions conformément aux dispositions de l'actuel General Vehicle Règlements.

El Real Decreto establece como fin último el objetivo de cumplir con la versión actualizada de las Directions de la Organización Mundial de la Salud sobre la calidad del aire, publicado en 2021, y que recogenez los niveles de calidad del aire recomendados para la protección de la santé publique.

En ce qui concerne les objets de l'atténuation du changement climatique, l'arrêté royal approuvé indique que les communes devront définir des réductions d'émissions quantifiables pour 2030 et qu'elles soient cohérentes avec le Plan national intégré énergie-climat pour la réduction de l'utilisation des véhicules privés à moteur. devant le restaurant des modes de transport.

En cas de respect des limites de pollution, le règlement permet un accès exceptionnel des véhicules polluants aux zones justifiées, telles que celles qui assurent les services publics de base, entre autres les services, les services d'urgence ou la collecte des ordures.

La norme établit également la nécessité d'une coordination et d'une coopération permanentes entre les administrations, en particulier dans les territoires insulaires, les zones métropolitaines et dans l'attention à la distribution urbaine des marchandises. De même, il reconnaît la nécessité de faciliter la participation des différents agents sociaux et de signaler les zones à faibles émissions.

De même, les municipalités doivent faciliter l'installation de points de recharge ou l'approvisionnement en carburants tels que l'hydrogène et peuvent introduire des moyens complémentaires dans le secteur du bâtiment, des moyens pour le remplacement des systèmes de chauffage, la réhabilitation économe en énergie et la promotion de systèmes climatiques sans émissions. .

De la même manière, des modifications des zones urbaines à caractère adaptatif peuvent être intégrées, telles que celles visant à atténuer l'effet d'îlot de chaleur ou l'augmentation des espaces verts urbains avec des espèces adaptées. En bref, l'arrêté royal comprend un régime de sanction qui intègre une période transitoire de quatre ans pour l'adaptation à la nouvelle norme des projets LEZ établie avant son entrée en vigueur.