L'ibi de la résidence habituelle est-il déductible sans hypothèque ?

Puis-je payer mes impôts des non-résidents en ligne ?

Les non-résidents (personnes qui ne vivent pas en Espagne) doivent payer certaines taxes s'ils possèdent un bien immobilier en Espagne. Les tableaux suivants expliquent les impôts fonciers espagnols que les non-résidents sont tenus de payer en tant que propriétaires de biens immobiliers en Espagne.

L'impôt que vous payez et la déclaration que vous devez faire dépendent en grande partie du fait que vous soyez locataire ou non de votre bien. Les étrangers peuvent être surpris de découvrir qu'ils doivent payer l'impôt sur le revenu même s'ils ne louent pas leur propriété en Espagne.

Nom en espagnolImpôt sur le revenu des non-résidents, déclaration ordinaire (IRNR)DescriptionSi vous 1) ne résidez pas en Espagne 2) possédez une propriété en Espagne et 3) louez votre propriété, vous devez payer l'impôt sur le revenu au lieu de l'impôt imputé décrit précédemment. (Si vous louez votre bien à une société espagnole, celle-ci prélèvera l'impôt à la source et le versera à l'administration fiscale. Dans ces circonstances, un non-résident n'est pas tenu de remplir les formulaires 210 ou 215). (référence)Assiette d'imposition et taux d'impositionL'assiette d'imposition est le loyer net, les déductions de dépenses autorisées (depuis le 01/01/2010) et le taux d'imposition en 2016 : Résidents de l'UE, Islande et Norvège 19 %, tous les autres 24 % Formulaire210 (utiliser la section générale 210-A et indiquer le type de loyer 01) ou 215Dates210 = Mensuel, un mois après la date d'échéance du loyer215 = Trimestriel, dans les 20 premiers jours du mois suivant la fin du trimestre. 20.000 19 eurosTaxe @3.800% = XNUMX XNUMX euros

Impôt sur la fortune en Espagne

L'Espagne est traditionnellement un pays avec un faible pourcentage de locataires, mais ces dernières années, le nombre de personnes qui préfèrent louer à acheter a considérablement augmenté. Cette augmentation, associée à des incitations fiscales pour les propriétaires, fait de l'achat locatif une option attrayante. Si vous envisagez de louer votre maison, lisez ce guide sur les taxes prélevées sur les locations de maison en Espagne.

À des fins fiscales, les autorités fiscales espagnoles considèrent tout argent que vous recevez de la location d'une propriété comme faisant partie de votre revenu imposable. Vous devez donc déclarer ces revenus annuellement et payer des impôts sur ceux-ci.

Si votre gagne-pain provient de revenus locatifs, ceux-ci sont considérés comme des revenus immobiliers et un régime fiscal différent s'applique. Gardez à l'esprit que vous devez remplir un certain nombre de conditions pour bénéficier de ce dispositif, comme par exemple avoir un contrat de travail à temps plein pour la gestion d'immeubles locatifs.

Si vous avez une location de vacances en Espagne, vous n'êtes généralement pas tenu de payer la TVA, sauf si vous proposez des services et que vous les facturez aux touristes. Quelques exemples sont le nettoyage et la lessive. Vous devez appliquer la TVA sur la commission prélevée par les plateformes de réservation, par exemple Airbnb, pour la location de votre bien.

Régime fiscal spécial Espagne

Il existe deux taxes foncières locales basées sur la valeur cadastrale de la propriété, qui est fixée par le conseil local et ajustée en fonction de l'inflation. Les taux d'imposition varient d'une région à l'autre en raison des différents taux d'imposition imposés par les gouvernements régionaux et locaux.

Il s'agit de la principale taxe foncière locale qui touche les propriétaires en Espagne et qui est versée annuellement à la mairie. Le montant de la taxe est calculé par référence à la valeur cadastrale (valeur foncière officielle) enregistrée pour toutes les propriétés en Espagne. Le pourcentage facturé varie d'une région à l'autre et est d'environ 0,5 % à 1 %.

Cette taxe locale qui doit être payée par le propriétaire et qui est liée à la collecte des ordures et à l'assainissement, varie d'une zone à l'autre et doit être payée à la mairie tous les 3 ou 6 mois. Cette taxe devrait être comprise entre 200 et 250 euros par an. De plus, si votre propriété espagnole dispose d'une entrée de garage, vous devez payer 18 euros par an.

En tant que propriétaire non-résident en Espagne, vous pouvez être tenu de payer l'impôt sur le revenu, la taxe sur la valeur ajoutée, l'impôt sur la fortune et l'impôt sur les successions. Les situations individuelles varient considérablement et il est préférable de demander l'avis d'un conseiller fiscal qui connaît bien le système fiscal espagnol.

Les expatriés paient-ils des impôts en Espagne ?

En tant qu'avocats spécialisés, nous avons résolu de nombreuses questions liées aux impôts en Espagne pour nos clients expatriés, et nous souhaitons partager notre expérience avec vous afin de mieux comprendre le système fiscal espagnol, vos droits et obligations.

Les non-résidents sont tenus de payer cet impôt sur tout revenu produit en Espagne, tel que les revenus de biens immobiliers en Espagne ou les revenus tirés de toute entreprise en Espagne. Les propriétaires sont imposés sur leurs revenus immobiliers ou leur valeur. La base d'imposition est la valeur cadastrale de la propriété (valeur cadastrale), qui peut être trouvée dans n'importe quel IBI (dans la province d'Alicante SUMA BILL). Si vous ne payez pas cette taxe, l'Agence fiscale espagnole vous facturera et vous pénalisera.

La réponse courte est que vivre plus de 183 jours en Espagne (y compris les voyages occasionnels à l'extérieur du pays) au cours d'une année civile fait de vous un résident fiscal. De plus, si votre conjoint et vos enfants mineurs vivent en Espagne, vous pouvez également être considéré comme un résident fiscal. .en Espagne même si vous travaillez ou vivez dans un autre pays. Ne confondez pas l'obtention d'un certificat de résidence espagnol (RÉSIDENCE délivré par le ministère des Affaires étrangères) avec un certificat fiscal espagnol (délivré par l'Agence fiscale) ; le premier indique que vous êtes inscrit au registre des étrangers tenu par la Police et n'est pas équivalent à la résidence fiscale, bien que l'administration fiscale puisse le considérer comme une preuve de votre résidence fiscale en cas de litige. Le second est délivré une fois que les exigences de l'Agence fiscale sont remplies.