La Generalitat condamne à indemniser de 400.000 XNUMX euros un automobiliste qui est entré en collision avec des sangliers très sauvages

Silvia León.- La Cour supérieure de justice de Catalogne a ordonné à la Generalitat de Catalunya d'indemniser un automobiliste de plus de 400.000 XNUMX euros pour les dommages causés par un accident et a causé des dommages à l'autoroute. Les magistrats qui considèrent l'Administration responsable, en tant que propriétaire de la route, de ne pas maintenir en bon état la clôture d'enceinte.

Comme nouvelle question, en plus de l'augmentation du montant de l'indemnisation, a-t-il expliqué à Sergi Grau Romero, qui a soulevé la défense du plaignant, est la condamnation de l'Administration "pour le manque de signalisation avec le signal de danger P-24 (fréquence pas d'animaux) a été accrédité pour la production de plusieurs accidents depuis 2 ans, considérant que le point de l'accident n'est pas catalogué comme la concentration d'accidents ou de points noirs, changeant une partie du critère auquel les tribunaux s'étaient fait écho ».

Et c'est que, selon clair, que le point soit considéré comme une "concentration d'accidents", la responsabilité de l'Administration propriétaire et cessionnaire se pose de signaler le danger avec le signal P24, si l'existence de plusieurs accidents dus à l'intrusion est avéré des animaux sauvages.

scène

L'accident en question s'est produit alors qu'il demandait à circuler avec sa moto Yamaha sur l'autoroute C14 (province de Tarragone), lorsqu'il a percuté de plein fouet trois sangliers qui traversaient la route. Selon des preuves avérées, près de l'accident il y avait une réserve avec une clôture métallique brisée, un trou par lequel, on en déduit, cela peut salir les animaux sur la route.

Responsabilité

Chaque fois qu'il s'agit de la responsabilité du motocycliste, il est à noter que les tests effectués ont prouvé qu'il ne roulait pas à une vitesse inappropriée au moment de l'impact.

Dès lors, dépouillé du degré de responsabilité du demandeur dans la production de l'incident, se posait la question du lien de causalité entre l'incident et le mauvais entretien de la clôture.

A cet égard, les magistrats sont clairs, comme on peut le déduire de l'arrêt, qui est conforme aux preuves policières sur place et au rapport photographique ci-joint, que la cause de l'apparition des trois sangliers sur la chaussée de l'autoroute doit être lié à l'état déficient de la clôture de clôture de celui-ci.

Cependant, précise la sentence, s'il est vrai qu'il n'y a pas d'obligation de clôturer les routes conventionnelles, le tribunal tient compte du fait que l'existence d'une réserve a été prouvée d'où découle la présence éventuelle d'Animaux en liberté. Il est donc clair que l'installation du panneau d'avertissement P-24 est nécessaire, peu importe la fréquence des accidents causés par l'incursion d'animaux sur la route. Pour cette raison, prévient la Chambre, il n'est pas justifié que le Ministère des Travaux Publics ne procède pas à la pose des affiches P-24 pour « Passage des animaux en liberté ».

Rappelons que la loi sur la circulation, la circulation des véhicules à moteur et la sécurité routière indique que « le propriétaire de la voie publique où se produit l'accident peut voir sa responsabilité engagée du fait de ne pas avoir réparé la clôture dans les délais, dans votre cas, ou pour ne pas avoir la signalisation spécifique des animaux en liberté dans les sections à fort taux d'accidents dus à la collision de véhicules avec eux.

De même, "il appartient au propriétaire de la route, la responsabilité de son entretien dans les meilleures conditions de sécurité possibles pour la circulation et de l'installation et de la conservation d'une signalisation et d'un marquage routier adéquats", sur la base de l'art. 139 du RD 1428/2003, du 21 novembre, Règlement général de circulation.

Pour cette raison, les magistrats concluent que l'accident et les dommages corporels et matériels qui en découlent sont liés de manière causale à l'action administrative qui doit assurer le maintien des voies publiques dans des conditions de sécurité minimales, qui dans ce cas, en raison de Ils ont installé le signe visé à la fin duquel ceux qui circulent sur cette route avaient une connaissance suffisante des dangers existant audit lieu en raison de l'occurrence prévisible de la présence d'animaux de la réserve adjacente sur la route.

Séquelles et indemnisation

Concernant l'indemnisation, la Cour a eu des éclaircissements sur le demandeur pour avoir soigné 589 jours, préventifs, dont, 197 jours d'hospitalisation et avec des conséquences importantes telles que "... altération de l'orientation, principalement spatiale (déplacement le long de la rue accompagné), attention et des problèmes de concentration, une compréhension limitée de questions complexes, une difficulté importante à maintenir une conversation fluide et le besoin d'une supervision générale ; concernent des membres de la famille proche et une socialisation très limitée et des troubles cognitifs modérés GDS 4».

Bref, au regard des répercussions sobres sur l'activité de travail, selon les preuves, les séquelles décrites supposent des limites très importantes incompatibles avec son métier habituel de camionneur, ainsi qu'avec le développement de toute activité de travail. Et c'est que le demandeur a précisé l'encadrement et l'aide d'une tierce personne dans sa vie quotidienne. En effet, les juges tiennent compte du fait que la Sécurité Sociale a reconnu une pension d'Invalidité Permanente au degré de Grand Handicap.

Pour tous, et après 7 ans de litige judiciaire, le tribunal condamne la Generalitat à verser au motocycliste le montant de 410.623 XNUMX euros en réparation des dommages subis lors de l'accident avec les sangliers en raison du mauvais entretien de la clôture et du manque d'espace signalisation.