La Cour suprême a déclaré la nécessité d'un jugement définitif pour publier l'identité des défaillants · Actualités juridiques

La Cour suprême a déclaré, par une récente sentence, que l'inscription d'une personne sur la liste des débiteurs, notamment en cas de liquidation liée à un crime, le droit à la présomption d'innocence jusqu'au prononcé du jugement correspondant n'est pas définitif. Comme dans ses récentes résolutions rendues à propos du régime de la publicité lorsque les Administrations Publiques diffèrent en défaut du Trésor Public, la Haute Cour statue sur ce régime lorsque le défaillant est un particulier.

Et elle le fait avec le même critère d'exigence que le débiteur ne puisse être inscrit sur les listes d'impayés que pour les dettes d'entreprise ou les sanctions fiscales, et non pour les dettes ou les sanctions fiscales contestées en justice.

La Cour suprême a comparé l'adéquation du droit à l'honneur, à la vie privée et à la protection des données personnelles, qui est protégé par l'article 18 de la Constitution espagnole, avec la publicité que l'article 95 bis LGT.

L'inscription d'une personne sur la liste des débiteurs, notamment en cas de liquidation liée à un crime, le droit à la présomption d'innocence jusqu'à ce que la condamnation pénale correspondante soit définitive (et, le cas échéant, la procédure disciplinaire qui peut être subsidiairement traitées dans les procédures administratives et contentieuses-administratives). La Chambre suggère que la publication de la liste des débiteurs, sans la signature de la dette, anticipe même l'existence du crime (ou, dans ce cas, de l'infraction) et la projette publiquement.

jugement ferme

Pour cette raison, la Cour Suprême a déclaré que l'inscription du débiteur, en cas de non-paiement, sur la liste des défaillants n'intervient qu'à la signature de la condamnation pénale condamnant l'infraction contre le Trésor Public, sans la simple liquidation du dette exprimée dans une liquidation liée à un crime.

Cette signature n'est pas requise, expliquent les magistrats, pour placer le débiteur collaborateur dans un plan dans lequel le préjudice causé par son exposition publique en tant que débiteur - ou en tant que fraudeur, protagoniste d'un comportement répréhensible - est qualitativement supérieur au préjudice qui peut Occasion avec la position de la publication à une époque où cette dette était déjà immobilière.

Quand au lieu de réaliser une liquidation liée à un crime, le crime est lié à la liquidation, audition de la Chambre qui a sacrifié la présomption d'innocence, droit fondamental qui ne peut neutraliser le juge pénal que par une condamnation définitive.

Et comme la Haute Cour l'a déjà dit dans ses récentes décisions sur la même question, l'absence de disposition propre dans la loi fiscale générale concernant la nécessité pour les dettes et les pénalités fiscales, incluses dans la liste des défaillants, d'être fermes, n'est pas un obstacle à sa créance est ainsi une sanction d'atteinte au principe de sécurité juridique qui, outre les dispositions de l'article 9.3 CE, constitue l'une des priorités de la loi générale des impôts.