Décret 36/2022, du 9 mai, qui abroge le décret




Le conseiller juridique

sommaire

Après l'approbation du décret 96/2021 du 23 septembre sur les mesures de prévention et de contrôle nécessaires pour faire face à la crise sanitaire causée par le COVID-19, le contexte actuel a été modifié avec l'approbation du décret royal 286/2022 du 19 avril. , par lequel l'utilisation obligatoire de masques pendant la situation de la crise sanitaire causée par COVID-19. Arrêté royal émis dans l'exercice de l'autorisation accordée par la disposition finale de la loi 2/2021, du 29 mars, sur les mesures urgentes de prévention, de confinement et de coordination pour faire face à la crise sanitaire causée par COVID-19, par lequel modifie les conditions de l'article 6, sections 1 et 2 de la loi 2/2021, du 29 mars, est rédigé dans les termes suivants :

1. Les personnes âgées de six ans et plus sont tenues de porter un masque dans les cas suivants :

  • a) Dans les centres, services et établissements de santé tels qu'établis dans le décret royal 1277/2003 du 10 octobre, qui établit les bases générales pour l'autorisation des centres, services et établissements de santé, par les travailleurs, les visiteurs et les patients, à l'exception des personnes hospitalisées personnes lorsqu'elles restent dans leur chambre.
  • b) Dans les centres sociaux de santé, les travailleurs et les visiteurs lorsqu'ils se trouvent dans des zones partagées.
  • c) Dans les moyens de transport aérien, ferroviaire ou par câble et dans les autobus, ainsi que dans les transports publics de voyageurs. Dans les espaces fermés des navires et bateaux où il n'est pas possible de maintenir la distance de 1,5 mètre, sauf dans les cabines, lorsqu'elles sont partagées par des groupes de cohabitants.

2. L'obligation contenue dans la section précédente ne sera pas exécutoire dans les cas suivants :

  • a) Aux personnes qui présentent un certain type de maladie ou de difficulté respiratoire pouvant être aggravée par l'utilisation du masque ou qui, en raison de leur handicap ou de leur dépendance, n'ont pas l'autonomie nécessaire pour retirer le masque ou présentent des changements de comportement qu'il est impossible de faire l'utiliser.
  • b) Dans le cas où, en raison de la nature même des activités, l'utilisation du masque est incompatible, conformément aux indications des autorités sanitaires.

Contexte réglementaire qui varie également après l'application de la nouvelle stratégie de surveillance et de contrôle contre le COVID-19 après la phase aiguë de la pandémie le 23 mars 2022, dans laquelle prioriser les actions visant à contrôler l'impact en termes de gravité et de létalité du SRAS -Infection CoV-2.

Compte tenu de ce qui précède, afin de fournir une plus grande sécurité juridique et d'éviter des interprétations sur la validité du décret 96/2021 susmentionné, du 23 septembre, il est nécessaire d'approuver ce décret qui le prescrit formellement, car une grande partie de son contenu reste en vigueur. .

Le décret répond aux principes de nécessité, d'efficacité, de proportionnalité, de sécurité juridique, de transparence et d'efficience établis à l'article 129.1 de la loi 39/2015, du 1er octobre, sur la procédure administrative commune des administrations publiques. L'initiative réglementaire respecte les principes de nécessité et d'efficacité, puisque l'objectif poursuivi avec son approbation est l'abrogation formelle ou expresse du décret 96/2021, du 23 septembre, qui a perdu une grande partie de sa validité. Pour atteindre cet objectif, l'approbation d'un décret dérogatoire est l'instrument le plus approprié. Le principe de proportionnalité est également respecté, étant donné que le décret abroge purement et simplement le décret 96/2021, du 23 septembre, à l'exception de la quatrième disposition complémentaire, qui reste en vigueur pendant toute la durée de la crise sanitaire provoquée par le COVID-19. Troisièmement, l'initiative répond au principe de sécurité juridique. C'est précisément la motivation de l'initiative normative : procéder à l'abrogation expresse et à l'expulsion conséquente de l'ordre juridique d'une norme dont la validité a décliné. Le principe de transparence est respecté puisque le seul objectif du règlement est l'abrogation du décret 96/2021 du 23 septembre précité. Enfin, en ce qui concerne le principe d'efficacité, l'initiative n'implique aucune charge administrative d'aucune sorte.

A ce titre, sur proposition du responsable du ministère chargé de la santé et après délibération du conseil d'administration en sa séance du 9 mai 2022,

disponible:

Abrogation de l'article unique du décret 96/2021, du 23 septembre, sur les mesures de prévention et de contrôle nécessaires pour faire face à la crise sanitaire causée par le COVID-19

Le décret 96/2021, du 23 septembre, sur les mesures de prévention et de contrôle nécessaires pour faire face à la crise sanitaire provoquée par le COVID-19, est abrogé, à l'exception de la quatrième disposition supplémentaire concernant la mesure exceptionnelle applicable à l'âge du bétail dans la tauromachie populaire festivités, régies par le décret 38/2013 du 11 juillet, qui approuve le règlement des fêtes taurines populaires de Castilla-La Mancha, reste en vigueur.

Le0000707986_20220510Aller à la norme affectée

Disposition finale unique Entrée en vigueur

Ce décret entrera en vigueur le jour même de sa publication au Journal officiel de Castilla-La Mancha.