Ordonnance APA/268/2023, du 13 mars, qui désigne le




Le conseiller juridique

sommaire

Le décret royal 45/2019 du 8 février, sur lequel se fonde la réglementation zootechnique applicable aux reproducteurs de race pure, aux reproducteurs porcins hybrides et à leur matériel de reproduction, met à jour le programme national de conservation, d'amélioration et de promotion des races d'élevage et les décrets royaux 558/ 2001, du 25 mai ; 1316/1992, du 30 octobre ; 1438/1992, du 27 novembre ; et 1625/2011, du 14 novembre, définit dans la section q) de son article 3 les centres nationaux de référence, en leur présentant certains génériques dans le cadre du Programme national pour la conservation, l'amélioration et la promotion des races d'élevage et en leur attribuant les réalisation de nombreux aspects d'intérêt liés aux races et à leur matériel génétique.

D'autre part, l'article 20.2 de l'arrêté royal précité établit expressément que le Ministère de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation peut désigner un Centre National de Référence en Génétique Animale dont l'objet est d'harmoniser et de standardiser les techniques de génotypage pour la vérification d'identité. analyses génomiques et génétiques des espèces d'élevage au niveau national, comment agir, le cas échéant, en tant qu'interlocuteur et représentant des intérêts nationaux en la matière dans les centres de référence de l'Union européenne qui sont conçus et dans d'autres organisations de l'Union européenne ou internationales.

Compte tenu de cette possibilité et compte tenu de l'importance croissante des techniques de génétique moléculaire dans le développement des programmes de sélection, tant à des fins de conservation qu'à des fins plus larges, il est jugé nécessaire de disposer d'un Centre National de Référence en Génétique Animale et de préciser les fonctions à exercer au sein de les dispositions des articles 3 et 20.2 dudit arrêté royal.

Le Laboratoire vétérinaire central (LCV), qui relève du Ministère de l'agriculture, de la pêche et de l'alimentation, a développé des activités liées à la génétique animale pour certaines associations d'éleveurs. D'une part, depuis août 2004, il est le Laboratoire de référence pour l'analyse du gène PRNP (génotypage) dans le cadre du programme national tremblante. D'autre part, de 2008 à nos jours, il a travaillé sur la détermination des contrôles d'affiliation et d'identité, statut désigné de 2009 à 2019 comme Laboratoire de référence en génétique au niveau national et dans le cadre du Programme National de conservation, d'amélioration et la promotion des races bovines.

Depuis août 2020, l'Algete LCV est reconnu comme Laboratoire de Génétique Moléculaire Animale conformément aux dispositions de l'article 18 du Décret Royal 45/2019, du 8 février, par le Ministère de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation par l'intermédiaire de la Direction Générale des Productions et des Marchés Agricoles et est enregistré dans l'application informatique ARCA.

Compte tenu de tout ce qui précède, il a été considéré que le LCV d'Algete remplit les conditions nécessaires pour agir en tant que centre national de référence en génétique animale, avec une expérience, des moyens et un personnel spécialisé pour exercer les fonctions qui lui correspondaient.

Cet arrêté est dicté par la protection de la qualification contenue à l'article 4.2 b) dudit arrêté royal, auquel cas il est établi que le Ministère de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation aura compétence dans la désignation des centres nationaux de référence.

Le contenu de cet arrêté est conforme aux principes visés à l'article 129 de la loi 39/2015, du 1er octobre, sur la procédure administrative commune des administrations publiques. Plus précisément, il respecte les principes de nécessité et d'efficacité, puisqu'il s'agit de l'instrument le plus approprié pour garantir que la norme est appliquée de manière homogène sur l'ensemble du territoire national, garantissant ainsi l'intérêt général. Elle respecte également le principe de proportionnalité, puisqu'il n'y a pas d'alternative qui soit moins restrictive des droits ou qui impose moins d'obligations aux destinataires. En ce qui concerne les principes de sécurité juridique, de transparence et d'efficacité, cette norme y adhère car elle est cohérente avec le reste du système juridique, et la participation des parties intéressées a été recherchée, évitant ainsi les charges administratives.

Lors de la préparation de cet arrêté, les communautés autonomes et les entités représentatives des secteurs concernés ont été consultées.

En vertu de celle-ci, avec l'approbation préalable du Ministre des Finances et de l'Administration Publique, disponibles :

Article 1 Désignation du Centre National de Référence en Génétique Animale

Le Centre national de référence pour la génétique animale s'appelle le Laboratoire vétérinaire central du ministère de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation, situé à Algete (Madrid).

Article 2 Attributions du Centre National de Référence en Génétique Animale

Le centre de l'article 1er précédemment désigné doit remplir les fonctions suivantes :

  • 1. Conformément à l'article 3 du décret royal 45/2019, du 8 février, sur lequel se fonde la réglementation zootechnique applicable aux reproducteurs de race pure, aux reproducteurs porcins hybrides et à leur matériel reproductif, le programme national de conservation, d'amélioration et de promotion de l'élevage races et modification des décrets royaux 558/2001, du 25 mai ; 1316/1992, du 30 octobre ; 1438/1992, du 27 novembre ; et 1625/2011, du 14 novembre :
    • a) Effectuer les analyses ou tests qui, à des fins d'expertise, de contrôle officiel ou avec d'autres amendes, sont demandés par les autorités compétentes dans le domaine de la zootechnie.
    • b) Collaborer avec les autorités compétentes (y compris la Commission nationale de zootechnie) ainsi qu'avec les associations d'éleveurs officiellement reconnues et d'autres opérateurs tels que les laboratoires de génétique moléculaire animale et les centres de génétique animale qualifiés, dans le domaine de l'élevage dans le développement d'actions qui peuvent être demandées dans le cadre du Programme national de conservation, d'amélioration et de promotion des races d'élevage.
  • 2. Conformément à l'article 20.2 du décret royal 45/2019 du 8 février :
    • a) Coordonner les laboratoires de génétique moléculaire animale, reconnus conformément à l'article 18 dudit arrêté royal, afin d'assurer l'homogénéité des techniques et de standardiser les méthodes à utiliser – ce qui inclut la réalisation d'essais collaboratifs et de validations avec d'autres laboratoires de génétique moléculaire – conformément aux recommandations des Centres de Référence de l'Union Européenne, de l'International Committee for Livestock Performance Control (ICAR) ou de l'International Society of Animal Genetics (ISAG).
    • b) Soutenir et transférer aux laboratoires de génétique moléculaire animale reconnus les informations, recommandations, protocoles et nouvelles techniques développés par les centres de référence de l'Union européenne, ICAR ou ISAG, ainsi que les lignes directrices pour les études génétiques ou la mise en œuvre de nouvelles biotechnologies à l'appui programmes d'élevage officiellement approuvés.
    • c) Développer, en collaboration avec des laboratoires de génétique moléculaire animale et, le cas échéant, avec des centres de génétique animale qualifiés, ses propres recommandations et procédures dans les aspects non couverts par les organismes internationaux de référence.
    • d) Confirmer le résultat obtenu par les laboratoires de génétique animale moléculaire, à condition qu'il n'y ait pas de mer définitive et qu'une mer soit requise.
    • e) Intervenir dans des cas réalisés à l'échelle internationale afin de standardiser à l'échelle internationale les procédures d'analyse utilisées au laboratoire.
    • f) Représenter activement auprès des organisations internationales (Centres de référence de l'Union européenne, ICAR et ISAG) du Royaume d'Espagne, participer à la définition de recommandations, de procédures ou de nouvelles techniques et tenir compte des spécificités de nos races.
    • g) Constitution d'une banque d'échantillons de matériel génétique non reproductif d'intérêt à partir des échantillons reçus au laboratoire et utilisés dans les analyses demandées.
  • 3. Tout autre que le ministère de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation détermine dans l'élaboration de la réglementation en vigueur, conformément aux dispositions du décret royal 45/2019 du 8 février.

PROVISIONS FINALES

Disposition définitive premier titre juridictionnel

Cet arrêté est pris sous la protection de l'article 149.1.13. de la Constitution, qui attribue à l'État une compétence exclusive sur les bases et la coordination de la planification générale de l'activité économique

Deuxième disposition finale Entrée en vigueur

La présente disposition entre en vigueur le jour suivant sa publication au Journal officiel de l'État.