Alberto Núñez Feijóo a présidé ce lundi le premier comité directeur du PP après les vacances d'été au siège national du parti. Avant le début du cours, il a été souligné au peuple populaire qui a voté en faveur du décret d'économie d'énergie de Sánchez que s'il se retirait de ses mesures frivoles, il existe une voie de dialogue avec le principal parti d'opposition et les communautés autonomes. Si ce n'est pas le cas, le PP votera contre ce décret-loi lors de son débat en session plénière du Congrès.
D'emblée, la position du PP devant le décret est un « non », car il le considère comme une improvisation. Mais demain, mardi, il y a un Conseil des ministres et c'est pourquoi il estime que c'est l'occasion de retirer les mesures frivoles, d'approuver des mesures en faveur de l'emploi et des aides au transport routier.
Le coordinateur général du PP, Elías Bendodo, a comparé devant la presse avec une égalité, et a profité de l'occasion pour critiquer ces mesures "frivoles" de Sánchez, parmi lesquelles il a inclus la proposition de décoller cette ruée vers l'épargne, comme ainsi que la fermeture des vitrines et l'essor de la climatisation. Bendodo a demandé au gouvernement du sérieux et de la responsabilité.
Bendodo a déploré que le gouvernement "ne soit pas parti en vacances", puisqu'il a consacré le mois d'août à attaquer durement Feijóo. En ce sens, il estime que c'est la preuve que Sánchez sait qu'il va perdre les prochaines élections et c'est pourquoi il a appelé "l'émeute de combat" pour attaquer le PP, premier dans les sondages. Le numéro trois du PP a indiqué que Sánchez doit être conscient que l'ennemi n'est pas dans ce parti, mais dans la crise économique, la crise énergétique, l'inflation et le chômage. Dans ce contexte, le PP considère Sánchez et son gouvernement comme « notoires », paralysés et sans capacité de réaction.
Feijóo prévoit d'ouvrir une série de contacts avec les dirigeants d'autres partis, dont le PNV. Un tour que le PP a inclus dans un cadre normal pour parler avec d'autres directs. Concernant les négociations avec le gouvernement pour le renouvellement du Conseil général du pouvoir judiciaire, Bendodo a confirmé que les contacts n'existent pas pour le moment.