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L'hydrogène électrique est l'un des obstacles à surmonter pour rendre l'énergie renouvelable et peut être étendu à une utilisation dans les transports et l'immobilier.
Le principal problème de l'électrolyse est que le prix du gaz naturel est moins cher que celui de l'électricité renouvelable et, par conséquent, il est encore plus logique au niveau des coûts d'utiliser le gaz naturel pour extraire l'hydrogène par sa combustion. Le principal inconvénient est que cette méthode émet des gaz à effet de serre dans l'atmosphère.
Bosch, l'une des plus grandes entreprises de composants qui a le plus de potentiel dans cette technologie, a déclaré dans sa présentation des résultats finaux qu'elle investirait 500 millions d'euros dans des batteries électriques, dont la production en série commencera en 2025.
Le mécanisme de ce système fonctionnel englobe des centaines de cellules interconnectées qui séparent les molécules d'eau en hydrogène et en oxygène. Si les énergies renouvelables sont utilisées, le résultat sera de l'hydrogène vert qui peut être stocké et transporté.
L'entreprise s'attend à ce que le marché mondial de l'hydrogène atteigne 14.000 milliards d'euros d'ici 2030. Le portefeuille de produits de Bosch comprend des piles à combustible pour l'industrie automobile et développe également des systèmes statiques pour l'utilisation industrielle de l'énergie.
Pour le moment, cette technologie de propulsion reste une petite niche sur le marché, car l'infrastructure de recharge est très chère et donc pratiquement inexistante. Certains constructeurs, comme Stellantis ou Renault, estiment que les modèles commerciaux et industriels seront les premiers à les adopter.
Résultat net, supérieur de 233 %
Au cours de l'exercice 2021, Bosch a réussi à augmenter son chiffre d'affaires de 10%, atteignant 78.748 78.465 millions d'euros, dépassant les 2018 2.815 en 69,6, son record historique jusqu'à présent. Comme vous le savez, cela se traduit par un bénéfice d'exploitation de XNUMX XNUMX millions, soit XNUMX % de plus qu'il y a un an.
Le résultat net s'élève à 2.499 233,6 millions d'euros, franchissant une nouvelle fois un cap impressionnant : une amélioration de XNUMX % par rapport à l'année précédente.
L'Europe est la région la plus importante pour l'industrie, avec une baisse de 53 % du chiffre d'affaires (41.300 milliards d'euros), et la division la plus importante pour les solutions de mobilité (automobile), avec une contribution de 45.300 milliards.
Dans la perspective de 2022, le premier trimestre s'est clôturé sur une hausse de 5,2% de son chiffre d'affaires. "Un plan solide qui est lancé avec des prévisions d'amélioration jusqu'à 6% d'ici 2021", confirme le directeur financier du groupe, Markus Forschner. Il estime toutefois que le résultat d'exploitation sera compris entre 3% et 4%, plombé par le prix des matières premières.
