Ximo Puig prône une réforme de la loi "oui c'est oui" pour favoriser les femmes

Le président de la Generalitat Valenciana, Ximo Puig, s'est prononcé en faveur de l'introduction d'"un certain type de réforme" avec une "normalité totale" dans la loi de garantie intégrale de la liberté sexuelle, connue sous le nom de loi du "seulement oui est oui", en Le cas qu'à un "certain moment" il n'atteint pas "son objectif", et a souligné qu'une norme qui est promue pour "bénéficier la société et, dans ce cas, les femmes, ce qui ne peut pas produire des conséquences qui ne sont pas positives.

Dans des déclarations aux médias après avoir assisté à la VIIIe édition du Brindis del Cava de Requena (Valence) ce samedi, le chef du gouvernement régional a souligné l'importance pour les femmes "d'être protégées" par cette nouvelle règle et d'avoir "des droits légitimes qu'il a son origine et que le machisme encore présent dans la société la rend difficile et conduit à la violence ».

Ainsi, il a choisi de modifier la loi : « Je suis favorable au fait que si une loi à un certain moment n'atteint pas son objectif, elle doit être prise en considération. En tout cas, il a souligné que la décision de la Cour suprême et du bureau du procureur est toujours en attente.

"Ce que fait la loi, c'est protéger les femmes et, si à un certain moment elle n'atteint pas l'objectif, une forme de réforme doit être menée en toute normalité, comme pour toute loi", a-t-il insisté.

Enfin, il a souligné qu'une loi comme celle du "seulement oui c'est oui" qui est là pour "bénéficier à la société et, dans ce cas, pour les femmes, ce qu'elle ne peut pas faire, c'est produire des conséquences qui ne sont pas positives".

Le jeudi, les pénalités les plus favorables s'appliqueront

À cet égard, le tribunal provincial de Valence a annoncé qu'il réexaminerait, en vertu de la loi "uniquement oui, c'est oui", les jugements définitifs à la demande des parties d'office ou si le tribunal estime qu'il existe une "attente raisonnable" de révision et application Dans ce cas, les peines pour le prisonnier sont plus favorables, ce que les magistrats d'Alicante exécuteront également, comme indiqué dans un communiqué.

En fait, ce jeudi, j'ai appris que la première section du tribunal provincial d'Alicante a rendu la première ordonnance de la Communauté valencienne par laquelle la peine infligée à une personne reconnue coupable d'un crime d'agression sexuelle constituant un viol est réduite en deux ans et a accepté sa libération immédiate, en application de la loi du « seul oui, c'est oui ».

Dans cette affaire, le tribunal a condamné le prévenu à six ans de prison dans un jugement en date du 2 décembre 2010, dans lequel il a expressément indiqué qu'il avait imposé la "peine minimale" prévue par le législateur pour ce crime. Désormais appliquée, car elle lui est plus favorable, la peine minimale que le Code pénal envisageait pour le même crime après la réforme opérée par la loi du "seulement oui, c'est oui", et la laisse à quatre ans, qui a déjà été purgé .