"Sánchez a plus de 40 ministres"

Cette fonctionnalité est réservée aux abonnés

abonné

La marche du directeur des soins primaires à Madrid pour des raisons de santé, annoncée hier, prendra effet lors du prochain conseil d'administration, vous connaissez donc probablement aussi la personne qui le remplace. C'est le dernier des changements dans un domaine, la Santé, qui a connu une succession de changements ces derniers mois, qui a été inclus dans le départ du vice-ministre de l'Assistance sanitaire, Antonio Zapatero. Mais la présidente régionale, Isabel Díaz Ayuso, est restée importante dans les changements qu'elle a jugés "normaux" et a affirmé que "le gouvernement de Pedro Sánchez compte déjà 40 ministres".

Des sources de la présidence assurent que les changements à la direction du ministère de la Santé sont dus à la réadaptation de ce domaine après la pandémie, qui a contraint tous les efforts à se consacrer à la lutte contre le coronavirus. Maintenant que la pandémie est surmontée, une nouvelle façon de travailler est promue, configurée pour les nouvelles circonstances. Et au problème du manque de professionnels de la santé dans tout le pays aussi.

Un moment délicat qui a entraîné d'énormes tensions avec les syndicats du secteur, qui ont été convoqués indéfiniment entre les établissements de santé des Services de soins ruraux - qui seront responsables de la réouverture des urgences de soins primaires - à partir du 25 octobre. Et avec une deuxième grève illimitée, depuis le 28 octobre, des urgentistes de l'hôpital Infanta Sofía (à San Sebastián de los Reyes), qui dénoncent depuis un certain temps un manque de moyens qu'ils qualifient de "dramatique" et qui génère une énorme "surcharge" et que "les soins aux patients sont en danger", disent-ils du syndicat qui a appelé à la grève, Amyts.

Interrogé sur la continuité du ministre de la Santé, Enrique Ruiz Escudero, dont l'équipe a considérablement changé tous les changements dans la région, le président Díaz Ayuso a insisté sur le fait qu'il s'agit d'un "gouvernement stable, le plus stable d'Espagne" et c'est son intention que ça continue comme ça, pour "en finir avec la législature concentrée sur ce qui est important".

Voir les commentaires (0)

Signaler un bug

Cette fonctionnalité est réservée aux abonnés

abonné