Arrêté 34/2023, du 20 février, du ministre du développement




Le conseiller juridique

sommaire

Le 6 juin 2022, l'arrêté 105/2022, du 20 mai, du ministre du Développement durable, a été publié au Journal officiel de Castilla-La Mancha, qui renforce les bases réglementaires de l'aide aux activités de consommation menées par des entités locales.

L'arrêté précité avait pour objet de fixer les bases réglementaires des aides destinées au financement des services locaux à la consommation rendus par les collectivités territoriales de la région. Ces bases réglementaires de subventions sont intégrées dans le Plan Stratégique de Subventions 2021-2023, avec pour objectif 000398 Soutien et Défense du Consommateur et ligne 001348 Protection du Consommateur.

Après son approbation, différentes entités locales ont demandé à l'organisme de gestion compétent en matière de consommation d'apporter certaines modifications au texte afin qu'il soit mieux adapté aux ressources précises pour le développement des programmes d'activités subventionnées et aussi afin de faciliter leur traitement plus efficacement.

En conséquence, conformément à ce qui précède et en usage des pouvoirs conférés par l'article 73.2 du texte consolidé de la loi de finances Castilla-La Mancha, approuvé par le décret législatif 1/2002, du 19 novembre, en relation avec les dispositions de la loi 11 /2003, du 25 septembre, du gouvernement et du Conseil consultatif de Castilla-La Mancha, comme avec les dispositions du décret 87/2019, du 16 juillet, qui établit la structure organique et les pouvoirs du ministre du développement durable,

disponible:

Article unique Modification de l'arrêté 105/2022, du 20 mai, du ministre du Développement durable, qui établit les bases réglementaires des aides pour les programmes d'activités dans le domaine de la consommation qui sont réalisés par des entités locales

L'arrêté 105/2022, du 20 mai, du ministre du Développement durable, qui établit les bases réglementaires des programmes d'aide aux activités de consommation réalisés par les entités locales, est modifié dans les termes suivants :

  • Premier. La disposition de base est modifiée, elle est rédigée comme suit :

    Septième dépenses subventionnées

    1. Les dépenses spécifiques dérivées du développement des actions qui répondent sans aucun doute à la nature de l'activité réglementée dans le présent arrêté seront considérées comme des dépenses éligibles.

    2. Dans les subventions accordées dans le cadre des lignes 1 et 2, les dépenses de gestion et d'exécution seront éligibles, y compris les dépenses du personnel employé qui fournit des services dans l'OMIC, telles que l'acquisition de ressources et de matériaux non inventoriables. , tels que ceux liés aux développements informatiques pour la gestion de l'OMIC, pour autant qu'ils soient interopérables avec les systèmes d'information et de gestion de la Direction Générale de l'Agenda 2030 et de la Consommation et qu'ils permettent un accès partagé aux données pour leur traitement .

    3. À la ligne 3, outre celles mentionnées à la deuxième section, sont considérées comme dépenses éligibles les dépenses liées à la présence et à la participation aux séances des organismes d'arbitrage de consommation, qui accréditent les personnes désignées par le conseil d'arbitrage, conformément aux dispositions de l'article 21 du décret royal 231/2008 du 15 février, qui réglemente le système d'arbitrage des consommateurs. Ces frais seront payés exclusivement pour la présence et la participation conformément aux quotas établis par le Conseil Communautaire de Castilla-La Mancha pour les Tribunaux d'Opposition de première catégorie, une fois que les Sentences Arbitrales correspondantes auront été rendues.

    4. Les dépenses occasionnées par les concepts suivants ne sont pas considérées comme des dépenses admissibles :

    • a) Les intérêts sur les odeurs des comptes bancaires.
    • b) Intérêts, majorations et sanctions administratives et pénales.
    • c) Les frais de procédure judiciaire.
    • d) Impôts directs.
    • e) Les impôts indirects, lorsqu'ils sont susceptibles de récupération ou de compensation, et les impôts sur le revenu des personnes physiques.
    • f) Autres tarifs et frais de nature fiscale.
    • g) Les services qui sont fournis avant l'appel par les OMIC correspondants.
  • Deuxième. La huitième disposition est modifiée, elle est ainsi rédigée :

    Huitième période d'exécution

    La période d'exécution des activités subventionnées comprend du 1er janvier au 30 novembre de l'année au cours de laquelle l'appel correspondant est lancé, pouvant subventionner également les dépenses dérivées de subventions émises entre le 1er décembre et le 31 décembre de l'exercice précédent qui n'ont pas été financés auparavant.

  • Troisième. La vingt et unième disposition est modifiée, elle est ainsi rédigée :

    Vingt et unième justification

    1. La justification des dépenses effectuées à partir des subventions accordées est effectuée conformément aux dispositions de l'article 30 de la loi 38/2003, du 17 novembre, et des articles 39 et 40 du règlement de développement du texte consolidé du Loi fiscale de Castilla-La Mancha en matière de subventions.

    2. Les justifications seront présentées par l'entité locale bénéficiaire, en utilisant un modèle activé à cet effet au siège électronique de l'administration du conseil communautaire de Castilla-La Mancha, à l'adresse Web https://www.jccm.es/

    3. La présentation de la justification est faite par les mêmes moyens que ceux établis à la quatorzième base et dans les 10 jours suivant la fin du délai d'exécution, au moyen d'un décompte simplifié avec présentation des pièces suivantes :

    • 1. Liste classée des pièces justificatives des dépenses effectuées au titre de la subvention accordée pour les projets objet de la subvention, classées par postes selon le budget de dépenses, indiquant le créancier et le document, son importation, sa date d'émission et sa date de paiement. Cette relation doit être soumise au format Excel par voie électronique.
    • 2. Certificat signé par le fonctionnaire compétent de l'entité, dans lequel il est indiqué que le montant débloqué par le conseiller au développement, se référant exclusivement au paiement que l'entité aurait reçu, a été comptabilisé comme revenu dans la comptabilité de l'entité, que les factures justificatives correspondent à des paiements effectivement effectués et découlant de l'objet pour lequel la subvention a été accordée, qui sont supposés être les leurs et n'ont pas été présentés à d'autres entités publiques ou privées comme preuve d'une aide accordée par elles.
    • 3. Rapport détaillant les actions réalisées, telles que les objectifs et les réalisations, indiquant que les objectifs ont été atteints ainsi que tous les incidents survenus lors de l'exécution de la subvention accordée, en se référant au pourcentage d'exécution atteint.
    • 4. Dans ce cas, une liste détaillée des autres revenus ou subventions qui ont financé l'activité de subvention, en indiquant le montant et son origine.
    • 5. Dans ce cas, lettre de paiement de remboursement en cas de restes non appliqués, ainsi que les intérêts qui en découlent.

    4. L'organisme subventionnaire, utilisant la technique de l'échantillonnage aléatoire simple, qui représentera au moins 10% du montant subventionné, exige des entités locales bénéficiaires qu'elles présentent les documents justifiant la dépense et le paiement jugés appropriés à la fin d'obtenir des preuves raisonnables de la bonne application de la subvention.

    5. Une fois la justification présentée, dans le cas où le coût total de l'activité subventionnée n'était pas justifié, l'entité est tenue de corriger les incidents dans les dix jours, en l'informant que cela s'est passé sans répondre à l'exigence, d'accepter pour violation de l'obligation de justification aux fins établies à la vingt-troisième disposition générale.

    6. Dans la justification des subventions, les dépenses autres que celles pour lesquelles la subvention a été accordée ne peuvent pas être incluses.

    7. Dans le cas où une facture incorrecte est facturée par tranches à plusieurs entités ou administrations publiques, il doit être fait référence en détail au montant de la dépense qui correspond à la contribution du conseiller dans chaque programme, au moyen d'un certificat à cet effet du représentant légal de l'entité.

    8. Lorsque les activités de subvention ont été financées, en plus de la subvention avec ses propres fonds ou d'autres subventions ou ressources, il doit être accrédité avec une liste des dépenses indiquant leur origine et l'application desdits fonds aux activités de subvention. obligations prévues par la réglementation applicable.

    9. Afin de vérifier l'application adéquate de la subvention, il peut être demandé à la Direction générale compétente pour les questions de consommation, combien de pièces justificatives sont considérées comme adéquates.

PROVISIONS FINALES

La décision finale prévaudra Régime d'appel

Contra la presente orden cabe interponer recurso contencioso-administrativo ante la Sala de lo Contencioso Administrativo del Tribunal Superior de Justicia de Castilla-La Mancha, en el plazo de dos meses contados desde el da siguiente al de su publicación en el Diario Oficial de Castilla- La tache.

Deuxième disposition finale Entrée en vigueur

Cette ordonnance entrera en vigueur l'année prochaine à compter de sa publication au Journal officiel de Castilla-La Mancha.