Les États-Unis et l'UE rivalisent pour attirer les investissements verts

La polémique anti-inflationniste a été abordée par l'administration Biden au centre des débats tenus cette semaine au Forum économique mondial de Davos. La norma, que se prevé que ascienda a 400.000 millones de dólares en créditos fiscales para potencializar la reversión de las empresas en transición ecológica, ha acabado con el encubrimiento de las autoridades y empresas europeas, para el aumento de la protección que llevan las parejas a les mesures. En Europe, l'engagement de l'exécutif démocrate dans la lutte pour le climat et les énergies vertes est valorisé, mais il dénonce que les conditions posées pour recevoir cette aide violent les règles du commerce international et peuvent nuire aux entreprises européennes. Les 27 craignent que leurs entreprises n'aient pas accès aux crédits d'impôt dont pourraient bénéficier les constructeurs américains d'autocars comme Tesla et Ford, car la nouvelle loi offre une telle aide à la condition que les composants verts soient fabriqués en Amérique du Nord. Face à cette situation, qui n'est pas si éloignée de l'engagement de Trump pour l'"American First", les politiciens européens ont deux options, et ils parient sur les deux : négocier avec les États-Unis pour modifier certains aspects de la norme et éviter que l'on considère concurrence déloyale entre alliés et, par conséquent, éviter une guerre commerciale ; mais en même temps copier certaines de ces mesures et approuver des incitations pour les entreprises européennes dans des conditions comparables à celles des États-Unis. Et dans ce sens, Ursula Von der Leyen elle-même a annoncé mardi dernier un plan d'investissement dans les industries "propres" pour contrer l'impact de la loi américaine sur les subventions vertes sur l'économie communautaire. Avec ce Plan industriel du Pacte vert, comme l'appelle Bruxelles, elle entend réformer la réglementation des aides d'État, éliminer la bureaucratie, améliorer les autorisations, créer un fonds d'investissement souverain, qui pourra être investi dans des projets stratégiques et améliorer les subventions. Des objectifs louables, mais Pour cela, la première chose à faire est d'accélérer la mise en œuvre du plan lui-même, car en attendant, nos entreprises sont désavantagées. C'est ainsi que les présidents d'entreprises espagnoles qui ont récupéré avec lui à Davos ont demandé à Pedro Sánchez. "L'Europe doit ajuster la régulation et imiter les Etats-Unis pour attirer les investissements", ont-ils transmis au président, qui semble l'avoir pris au sérieux. En effet, dans une interview à CNBC, le président espagnol a défendu la réglementation américaine pour lutter contre l'inflation et, au lieu de dénoncer le protectionnisme et une éventuelle concurrence déloyale, il a préconisé de copier certaines de ses mesures. "Nous devons réformer certains aspects internes de nos politiques industrielles tels que les aides d'État, la réduction de la bureaucratie, et nous devons envoyer un message à l'industrie du monde entier pour les convaincre que l'Europe, et bien sûr l'Espagne, est un bon endroit à localiser ». Une transformation surprenante de Pedro Sánchez dans cette tentative d'attirer ce qu'il qualifiait il n'y a pas si longtemps de "pouvoirs cachés". En fait, cette déclaration d'intention est loin de la réalité des politiques que le gouvernement applique en Espagne. Selon la traditionnelle enquête menée par PwC auprès des PDG du monde entier et publiée ces jours-ci à Davos, les hommes d'affaires espagnols considèrent la réglementation gouvernementale comme le principal risque pour leur rentabilité.