Loi 1437 de 2011. Le silence administratif en Colombie

El Silencieux administratif Il s'agit d'une procédure par laquelle la loi prévoit que, dans certains cas, l'absence de décision de l'administration face à certaines demandes ou ressources soulevées par les administrés génère un effet qui peut être négatif ou positif. C'est-à-dire qu'en matière de contestation administrative, une omission dans la réponse des autorités de l'État aux demandes respectives présentées par l'entreprise est connue sous le nom de silence administratif, qui, selon la loi 1437 de 2011, est positive ou négative.

Lorsqu'il s'agit du silence administratif, il faut tenir compte du fait que ce processus se déroule au sein d'une classe de mécanismes administratifs qui sont réglementés et classés conformément aux dispositions de procédures approbation automatique ou évaluation préalable par l'entité. Par conséquent, ce procédure d'évaluation préalable est soumis, en cas d'absence de déclaration en temps opportun, à deux formes de résolution, l'une à silence positif et l'autre à silence négatif. (Conformément à l'article 83 de la loi 1437 de 2011).

Cette évaluation préalable doit être effectuée à travers certaines étapes que sont l'instruction, la justification, la preuve et enfin, le prononcé de l'entité, où, la demande de l'administrateur sera suspendue pendant que le processus est résolu.

Grâce au silence administratif, la procédure peut être interrompue. Cependant, celui-ci est divisé en deux catégories: silence positif et l' silence négatif, selon l'article précité.

  1. Le silence positif.

Le silence administratif positif est donné automatiquement par l'administration publique par volonté directe de la loi. Les effets se répercutent directement sur les procédures administratives, par lesquelles ils sont automatiquement approuvés dans les conditions dans lesquelles ils ont été initialement demandés. La mise à l'épreuve automatique du silence administratif positif est soumise à deux exigences principales, à savoir:

  • Que le délai fixé par la loi est écoulé.
  • Que l'entité n'a pas communiqué la déclaration au gestionnaire lorsqu'elle en a eu l'occasion.

Pour que la procédure administrative positive puisse être menée à bien, les termes de ladite décision doivent être comptés à partir du jour où la pétition ou l'appel a été présenté, cependant, il est également possible que l'acte positif puisse faire l'objet d'une révocation directe, ceci par une partie de la les autorités qui les ont prononcées ou leurs supérieurs hiérarchiques immédiats, d'office à la demande d'une partie, comme le prévoit l'article 93 de la loi 1437 de 2011, par lequel, pour ce cas de procédure administrative positive, il est:

  • Lorsqu'une opposition à la Constitution politique ou à la loi est expressément présentée.
  • Lorsqu'elle est en désaccord avec l'intérêt public ou social ou qu'elle est tentée contre elle.
  • Lorsque ces blessures injustifiées à une personne surviennent.

Quelle est la procédure administrative pour procéder au silence positif?

Pour invoquer le processus de silence administratif positif, selon l'article 85 de la loi 1437 de 2011, la personne qui trouve dans les conditions légales le bénéfice du silence positif, les exigences suivantes doivent être protocolisées:

  • Le procès-verbal ou la copie visé à l'article 15 de la même loi 1437.
  • Un affidavit précisant que vous n'avez pas été informé de la décision dans le délai prévu par la loi.

Dans les deux cas, l'acte public et les copies authentiques de la même demande produisent les mêmes effets juridiques sur la décision favorable sur la demande initialement rendue. Et par conséquent, il est du devoir de tous les individus en tant qu'entités publiques, de reconnaître les stipulations légales.

Quelles sont les hypothèses d'origine du silence administratif positif?

Il y a quatre hypothèses par lesquelles la procédure est soumise à un silence positif, ce sont:

  1. Les demandes dont l'appréciation autorise l'exercice de droits préexistants.
  2. Les moyens destinés à remettre en cause la désapprobation d'une demande spécifique, dans le cas où l'individu aurait opté pour l'application respective du silence administratif négatif.
  3. Dans les procédures dans lesquelles la conséquence de la décision finale ne peut pas directement transcender les administrations autres que le pétitionnaire, en limitant, en portant atteinte ou en affectant des intérêts ou des droits légitimes.
  4. Toutes ces procédures à la demande d'une partie non soumises à un silence administratif négatif exclusif, à l'exception des procédures de demande à titre gracieux et de consultation qui sont régies par une réglementation spécifique.

 

  1. Le silence administratif négatif.

Ce silence administratif négatif repose sur un droit facultatif qui, dans ce cas, est en faveur de l'individu qui ne fonctionne pas automatiquement. Selon l'article 83 de la loi 1437 de 2011, où il explique que le silence administratif négatif prévoit qu'une fois la requête déposée, si trois (3) mois se sont écoulés sans notification de la décision qui la résout, il sera entendu que la la réponse est négative.

Si le cas est présenté, que la loi indique un délai supérieur aux trois (3) mois mentionnés ci-dessus pour pouvoir résoudre la pétition sans qu'elle ait été tranchée, alors le silence administratif interviendra après un (1) mois soit ils comptent à partir de la date à laquelle la décision aurait dû être prise. Aussi, il est important de noter qu'en cas de silence administratif négatif, cet acte ne génère pas d'exonération de responsabilité devant les autorités, ni n'excuse l'obligation de statuer sur la requête initiale, uniquement dans le cas où le l'intéressé a fait usage des voies de recours contre le fait allégué ou, bien qu'ayant eu recours à la compétence contentieuse-administrative, une ordonnance de recevabilité de la demande a été notifiée.

Pour exécuter la procédure, l'administrateur dispose de deux options:

  • Attendez que l'administration publique se prononce.
  • Prenez la décision de contester l'inactivité administrative.

De cette manière, dans le cas où l'entreprise prend la décision de contester, elle peut le faire par le biais d'une instance administrative supérieure ou, dans ce cas, devant le pouvoir judiciaire par le biais du processus administratif contentieux mentionné ci-dessus.

Le silence négatif a également pour effet d'autoriser l'administration à déposer des recours administratifs et des poursuites judiciaires pertinentes, ce qui signifie que ce chiffre peut également générer des effets sur l'administration et, par conséquent, elle aura le devoir de trancher, sous sa responsabilité respective. Toutefois, ce droit est maintenu jusqu'à ce qu'il soit notifié que la question en question a été portée à la connaissance de l'autorité juridictionnelle ou, par conséquent, que l'entreprise a fait usage des ressources administratives correspondantes.

Quelles sont les hypothèses à l'origine du silence administratif négatif?

Les cas d'origine soumis à un silence négatif seront donnés selon ce qui suit:

  1. Dans le cas où la demande se concentre et traite de questions d'intérêt public.
  2. Lorsque d'autres actes administratifs antérieurs sont débattus, sauf dans le cas des ressources.
  3. Dans le cas des procédures trilatérales et de toutes celles qui génèrent une obligation de la confier ou d'en prendre en charge à l'Etat.
  4. Ces procédures qui correspondent à l'enregistrement.
  5. Tous ces cas, dans lesquels, en vertu de la loi expresse, la modalité administrative silencieuse est applicable.

Quelle est la durée de la procédure d'évaluation automatique ou de l'évaluation avant le silence administratif?

En règle générale, la procédure d'évaluation préalable doit être effectuée dans un délai n'excédant pas 30 jours ouvrables, à moins que de nouvelles procédures ne soient établies par une loi ou un décret législatif exigeant un délai supérieur à celui fixé ci-dessus. Si le délai fixé pour la procédure est conclu et qu'aucun acte n'est émis, le silence administratif est tenu pour acquis.

Quelles sont les exceptions au silence administratif?

Concernant les exceptions au silence administratif, les cas suivants peuvent être identifiés:

  • Ces procédures de médiation, d'arbitrage et de conciliation.
  • Cas résolus par accord ou accord.

Quelle est la relation de l'administration dans ces situations présentées en termes de silence administratif?

En principe, après le délai correspondant, l'obligation de résolution de l'administration est perdue, puisque la procédure est terminée. En revanche, un acte administratif est généré, dans ce cas favorable aux administrés, de nature présumée ou tacite. En outre, l'acte à suivre a à toutes fins le caractère d'une résolution qui met fin à la procédure respective et donc, et enfin, maintient le pouvoir de nullité d'office.