Les écoles privées ne peuvent pas utiliser le fixe discontinu pour enseigner l'activité scolaire Actualités juridiques

La chambre sociale du Tribunal national, dans un arrêt du 21 février 2023, a limité le recours au contrat à durée déterminée discontinu aux personnels enseignants qui dispensent des activités scolaires au profit de la stabilité dans l'emploi de ces personnels.

Il n'est pas possible, sous le couvert d'un but légitime planté comme anodin (la défense des intérêts économiques des membres de l'association affectée), de cacher un préjudice évident des enseignants concernés, à qui l'application d'une modalité contractuelle qui Il ne s'adapte pas aux caractéristiques de votre activité.

Le précepte contesté de la XIe convention collective nationale des centres d'enseignement privés prévoit que le personnel enseignant ne peut être engagé sous la modalité fixe discontinue pour enseigner des activités curriculaires.

vacances

S'il vous plaît, faites attention à la convention collective, et aussi à prévoir que votre avantage personnel est dû à un mois de congés payés, de préférence en été, si vous ne vous sentez pas à l'aise avec la confirmation que vous n'avez pas commencé en juin depuis septembre, il ne s'agira pas d'exercices d'activité et deux périodes de vacances s'ajoutent : Pâques et Noël coïncident avec les vacances scolaires fixées pour les élèves, selon le calendrier scolaire approuvé.

Le simple fait que le contrat commence avec le cours d'enseignement en septembre, se termine en juin et qu'il y ait une période de deux mois sans aucune activité pendant la saison d'été ne permet pas d'affirmer sans plus tarder que la relation de travail des enseignants est conforme aux caractéristiques du contrat à durée déterminée discontinu.

La Cour suprême a déclaré que l'activité d'enseignement général de base est dans ce cas une activité permanente et non cyclique, qu'il y a des vacances plus longues que celles prévues au moins à l'article 38 du Statut, des vacances qui dans le personnel administratif sont apparentes plus réduit que dans le domaine éducatif, afin de maintenir qu'au début du cours, il doit prendre en charge les tâches d'inscription préalables au début de l'enseignement et à la fin de celui-ci, il doit également prolonger son travail avec des procès-verbaux, certifications, etc., au-delà de la fin du cursus scolaire.

Et sur cet argument, la Cour ajoute que la loi RD 32/2021, du 28 décembre, a souligné la nécessité de simplifier les modalités contractuelles pour atténuer les déficiences structurelles perçues, qui se sont approfondies dans un marché du travail affecté par l'emploi temporaire et l'instabilité de l'emploi, modifiant la réglementation du CDI discontinu dans le sens de son affectation à l'exécution d'emplois à caractère saisonnier ou liés à des activités productives saisonnières, ou au développement de ceux qui n'ont pas ce caractère mais qui, étant d'exécution intermittente, ils aura des délais d'exécution certains, déterminés ou indéterminés, prévision qui coïncide exactement avec ce qui est contenu dans le premier alinéa de l'art. 17 bis de l'accord attaqué.